Médicaments et traitements

Publié le par cancersurordonnances

Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d’escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2]  Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile).
 
Cancérologie :  Le catumaxomab (Removab)    Le défibrotide (Defitelio)    Le panitumumab (Vectibix)     La trabectédine (Yondelis)       Le vandétanib (Caprelsa)       La vinflunine (Javlor)
 
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.
Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité
 
De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments
 
"Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux."- Professeur G. Mathé, "L’Express" - 4/10/85.
« La stratégie furieuse que la médecine classique applique dans le traitement du cancer ou quand il y a suspicion de cancer, torture, mutile et tue de loin beaucoup plus de personnes que ne le ferait l’absence de traitement. »
Pr. Dr . J. HACKETAL ("Keine Angst vor Krebs").
 
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … "Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans." : l'omerta médicale
 
Question sur la chimiothérapie
le nombre de cancers pour lesquels la prolongation de la vie grâce à la chimiothérapie a été prouvée par des essais cliniques randomisés est très faible.
"Le traitement du cancer conventionnel et tellement toxique et déshumanisant que je le crains beaucoup plus que je ne crains la mort par cancer. Nous savons que la thérapie conventionnelle ne fonctionne pas, si elle fonctionnait, vous n'auriez pas a craindre le cancer, pas plus que vous craignez une pneumonie. Or l'absence totale de certitude quant à l'issue d'un traitement conventionnel qui crie presque plus de liberté de choix dans le domaine de la thérapie du cancer. Pourtant, la plupart des thérapies alternatives, indépendamment des avantages potentiels ou avérés, sont mis hors la loi, qui oblige les patients à se soumettre à des échecs que nous connaissons ne fonctionne pas, parce qu'il n'y a pas d'autre choix."   Ralph W. Moss, Ph.D
 
les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées
Le Dr Hardin Jones, MD, professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley. Il a dit à un groupe ACS, "Mes études ont prouvé de façon concluante que les victimes du cancer non traitées peuvent effectivement vivre jusqu'à quatre fois plus longtemps que les personnes traitées. Pour un type typique du cancer, les personnes qui ont refusé le traitement ont vécu en moyenne des années 12-1/2. Ceux qui ont accepté types de chirurgie autres formes de traitement ont vécu en moyenne de trois ans seulement .... J'attribue cela à l'effet traumatique de la chirurgie sur le mécanisme de défense du corps naturel. Le corps a une défense naturelle contre tous les types de cancer. "G. Borell, L'histoire de peroxyde (Delano, Minnesota: ECHO, 1988), page 30. - Dr Hardin Jones est un professeur de physique médicale et de la physiologie à l'Université de Californie, Berkeley. 
En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.
 
"La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les docteurs utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs."

CANCÉROLOGIE : ON SE MOQUE DE NOUS DEPUIS LONGTEMPS
Depuis 50 ans, en dépit du bla-bla-bla que les institutions nous servent, aucun progrès effectif n’a été réalisé dans la recherche sur le cancer. Mieux, cet état de fait n’est pas un hasard mais une volonté politique avérée à but purement mercantile. D’ailleurs, tous ceux qui ont trouvé des remèdes efficaces ont été combattus, écartés, voire éliminés, et leurs méthodes ont été confisquées, réduisant les malades dissidents à se soigner et à guérir par effraction. Ce que j’ose prétendre depuis des années est une fois de plus confirmé par trois bombes médiatiques qui sont tombées récemment : 
1 - L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique !  En effet, plusieurs responsables de recherche de la très réputée Harvard Medical School ont falsifié les résultats d'études scientifiques, ceci afin d’arriver à des conclusions qui leur permettaient de pouvoir prétendre à une subvention fédérale de 15 millions de dollars. Un procès va se tenir prochainement sur cette affaire. Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt….. 
2 - La plupart des études scientifiques sur le cancer sont bidons !  C. Glenn Begley, ancien patron d'un labo pharmaceutique a récemment lâché sa bombe dans un article de la revue Nature : sur 53 études de haut niveau (publiées dans les revues les plus sérieuses) qu'il avait jugées intéressantes dans le cadre du développement de nouveaux médicaments anti-cancer, 47 (soit 88%) n'ont jamais pu être reproduites par ses équipes !   Begley a alors aménagé une rencontre avec plusieurs responsables de ces fausses études. Et voici ce qu'il raconte sur l'un de ces rendez-vous : « Je lui ai expliqué que nous avions refait leur expérience 50 fois sans jamais parvenir au même résultat qu'eux. Il m'a répondu qu'ils avaient fait six tentatives, obtenant le résultat une seule fois, mais c'est bien celui-là qu'ils ont choisi de publier car il sonnait mieux… »   Ce cas n’est malheureusement pas isolé, loin de là, et c’est le système de financement des labos de recherche qui est à revoir. 
3 -  Des médicaments anti-cancer qui font flamber les cancers !  Le problème est que ces études malhonnêtes constituent une base de développement pour des nouveaux médicaments, tels le Glivec et le Sutent, anti-angiogéniques dont le principe est de bloquer l'irrigation sanguine des tumeurs dans l’espoir de les tuer. Manque de chance, une équipe scientifique a montré que cette technique tue aussi  les péricytes environnantes, qui ont pour fonction de combattre la tumeur. Résultat : la tumeur diminue bel et bien en volume, mais elle dissémine beaucoup plus rapidement ses cellules cancéreuses dans le reste de l'organisme. C’est ce qu’a déclaré le professeur Raghu Kalluri, responsable de l'étude. Ceci n’empêche pas que le Glivec depuis 2001 et le Sutent depuis 2006 soient toujours autorisés et administrés officiellement dans la plupart des chimios en Europe, sans états d’âme.  Mais Motus et bouche cousue ! Business is business !  Et les morts ne font jamais de réclamations……
 
" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer."" l’institution biomédico-pharmaceutique qui était censée sauver la vie humaine sera devenue le meilleur moyen de la tuer.
 
C'est donc incroyable. Ca le sera encore plus si nous ajoutons qu'on le sait depuis plus de 30 ans
 
"Malgré la large utilisation des chimiothérapies, la mortalité par cancer du sein n'a pas changé dans les 70 dernières années"
 
Cela fait maintenant 32 ans que le Président Nixon a déclaré la guerre au cancer. Depuis, on a dépensé 2 billions de dollars pour la recherche et les traitements anticancéreux conventionnels, avec pour conséquence un nombre plus important que jamais de
 
Une combinaison simple des aliments pouvait arrêter des cellules de cancer d'envahir la matrice de collagène !
 
« (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique.
 
« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le Cancer aujourd'hui »
 
Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques lorsqu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement.

L’information avait été jalousement gardée jusqu’au 21 juin 2003
Enfin révélée, elle a provoqué l’émoi de tous les médias grand public : la consommation de vitamines et de minéraux antioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisser d’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm sur un échantillon de 13 000 volontaires et consistant à donner une supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants confère une dimension chiffrée et officielle à ce que les médecins de terrain et ceux qui pratiquent les médecines naturelles savent depuis la nuit des temps.....Si la méthode avait été adoptée, elle aurait abouti à une large éradication du cancer. Un effondrement du nombre de cancers provoquerait certainement un effondrement du taux de remplissage des cliniques et hôpitaux : beaucoup ne seraient plus rentables... et, expliquait-il, un allongement de la durée de vie rendrait insoluble le problème du paiement des retraites...
 
On survit plus longtemps avec un cancer non traité que traité
Les statistiques montrent que l'on survit plus longtemps avec un cancer non traité que traité. On parle certes de prévention - mais cela consiste en messages destinés à distiller la peur, facteur elle-même de maladie.

 
Vérités sur le business médical de l'industrie du cancer
L'Organisation mondiale de la Santé a admis ceci : « Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde. » Depuis près de 40 ans, la Zunie a dépensé 200 milliards de dollars à « essayer » sans succès de trouver un remède. Mais, la plupart des médecins ne sont même pas capables de vous dire pourquoi la médecine (du cancer) est un pareil fiasco. (Suggestion : il y a un dessein caché.)
Saviez-vous que le coût moyen du traitement conventionnel pour le cancer dépasse 300.000 dollars ?

Cancer
informez vous !


fraude massive dans la recherche sur le cancer
Dans un scandale qui a résonné partout dans le monde de la recherche sur le cancer, l'Office of Research Integrity au Département américain de la Santé a révélé que un scientifique de Boston University cancer fabriqué ses conclusions. Son travail a été publié dans deux journaux en 2009, et il a été ordonné de les retirer. Mais d'importantes études par d'autres scientifiques, comme ceux de la Clinique Mayo, qui a basé son travail sur ses constatations, pourrait maintenant faire 10 années de leurs études sans valeur, selon le commentaire de la santé Gaia.

  Le 13 décembre 1974, lors d'une réunion qui a lieu chez Madame le Professeur Ripoche au 46 rue de Spontini entre Monsieur Charbonnot, Directeur Général de la Santé, le professeur Lechat qui était chargé de la pharmacovigilance au Ministère de la Santé et M. Poniatowski, Ministre de la Santé, il est décidé de ne pas rendre publiques les travaux de M. Gernez, ceci contre l'avis du ministre ... ensuite, chantage pour que le Dr Gernez cesse ses travaux, 3800 médecins prêts à mettre le protocole de prévention en pratique reçoivent une lettre émanant d’un dénommé Moulin qui était à l’époque secrétaire, ou sous-secrétaire de l’ordre des médecins ...
Bref, le schéma habituel lorsqu'une pompe à fric se sent menacée.
L'éradication possible du cancer et autres maladies dégénératives est encore aujourd'hui un quasi secret d'état. Même Nixon a du baisser les bras après l'avoir annoncée le 23 décembre 1971 dans un discours télévisé. Depuis 30 ans, c'est donc au bas mot 2 millions de morts par cancer qui auraient pu être évités ... en France. Au niveau mondial, le calcul renvoit Hitler au jardin d'enfants.
Et pourtant ... le 17 Juin 1979 à Salzburg, les découvertes d'André Gernez sont consacrées par le milieu scientifique officiel. Il reçoit, à l'unanimité d'un jury composé de 40 prix Nobel, le prix Hans Adalbert Schweigart de la protection de la vie pour la découverte du double cycle cellulaire qui permet la prévention du cancer et sa guérison par la méthode dite "systématique post-opératoire synchronisée". Il reçoit son prix des mains du double prix Nobel Linus Pauling ... étonnant, non ?

Et si, au lieu du cancer, c'était au traitement que vous aviez "survécu"
Nicole Delépine :A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !
Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer » était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas). Beau doublé !

Nous ne pouvons pour le moment « guérir » que 15 à 20% des cancers et encore, que certains types de cancers, et ce uniquement si certaines conditions favorables sont réunies.

La mainmise de l’industrie pharmaceutique sur la médecine
Des bénéfices colossaux réinvestis pour développer les ventes   Dans les années 1980, le bénéfice net des entreprises du médicament stagnait à 10% du chiffre d’affaires. Depuis, sa stratégie est devenue plus agressive. Les financiers et les publicitaires ont remplacé chercheurs et médecins à la direction des très grandes entreprises du médicament. Il ne reste que peu de place pour l’éthique médicale ou scientifique ou la notion de malades devenus consommateurs. Dans cette stratégie de conquête de marché, les grands essais thérapeutiques sont essentiels comme caution scientifique, pour obtenir les autorisations de mise sur le marché à un prix élevé et comme vecteurs de publicité pour élargir les indications.

CANCER : LES RAVAGES DU DÉPISTAGE
Le surdiagnostic participe donc à amplifier artificiellement l’incidence des cancers du sein comme celui de la prostate. Aujourd’hui, on parle d’épidémie, créant une véritable angoisse collective. Or, si le nombre de cas détectés n’a cessé d’augmenter, la mortalité, elle, est restée plutôt stable. Pour les chercheurs opposés au «tout dépistage», les vrais cancers sont ceux qui ont causé la mort et non pas ceux, toujours plus nombreux, que l’on dépiste. Car plus on en cherche, plus on trouve de pseudo-cancers.

Pire que le mal ?  Dépister ou ne pas dépister les cancers, telle est la question, selon le professeur Fernand Turcotte
"Une personne en santé est un malade qui s'ignore", écrivait, en 1923, Jules Romains dans sa pièce de théâtre Knock ou le triomphe de la médecine. "Une personne en santé est quelqu'un qui n'a pas encore subi assez de tests de dépistage", reprend aujourd'hui Fernand Turcotte pour caricaturer une certaine attitude du monde médical face au cancer. Ce professeur de la Faculté de médecine mène depuis plus de 30 ans une croisade en faveur du bon sens et de l'esprit critique dans la pratique médicale. Spécialiste en prévention, il estime que le dépistage tous azimuts du cancer a entraîné la médecine dans un piège dont elle ne parvient plus à se dépêtrer.
...Si le diagnostic précoce du cancer sauvait des vies, on devrait pouvoir en observer les effets par une baisse des taux de mortalité....
...Ça signifie que plus d'un million d'hommes ont été opérés avec les risques que cela comporte, et qu'ils doivent vivre avec les conséquences de cette opération - certains devront porter une couche pour le reste de leur vie - sans que tout cela n'ait sauvé une seule vie...
  
  

quelques médicaments et traitements

Cancer : seul un essai clinique sur cinq est publié. L’industrie pharmaceutique occulte ses ratages : De tous les essais cliniques financés par l’industrie pharmaceutique, moins de 6% sont publiés, et sur ces 6%, 75% arrivent à des conclusions favorables pour les médicaments étudiés.

Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux...
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique - et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer... sont bidons !
2/ L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer... qui favorisent le cancer !
des médicaments estimés efficaces et censés réduire nettement le taux de mortalité ont en fait un bénéfice largement surévalué

Cancer : la chimiothérapie remise en cause par une étude américaine
la chimiothérapie pourraient endommager des cellules dites saines et les pousser à produire une protéine nommée WTN qui alimente la tumeur. Ce phénomène favoriserait donc les risques de rechute et de prolifération des métastases.

Cancerologie, la revue prescrire demande l'interdiction de :
le catumaxomab (Removab®); le panitumumab (Vectibix®); la trabectédine (Yondelis®), le vandétanib (Caprelsa®), la vinflumine (Javlor®), le fer dextran (Ferrisat®).
 
catumaxomab (Removab) dans l’ascite maligne, à la suite du retrait de l’AMM dans l’Union européenne.
 
un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfracraires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois) : LA

C’est pire qu’une crise, c’est une tragédie grecque.
C’est en fait en début d’année 2014 que le pot au rose a été découvert (ou révélé, comme on voudra) par les deux plus grandes revues rapportant les exploits des scientifiques, je veux parler de Nature et Science.Ils ont dit la même chose, nos prestigieux Directeurs et Editeurs en chef : une très forte proportion des découvertes scientifiques [surtout dans les sciences médicales] n’est pas « reproductibles », ce qui veut dire dans leur jargon que les résultats publiés sont faux ou biaisés, ou inventés ou inutilisables et donc ne servent à rien. Gaspillage immonde des fonds publics puisqu’on ne parle là que de recherches académiques (et pas commerciales) financées par les impôts.
Ce n’est pas très étonnant quand on voit œuvrer les « commerciaux » et ceux œuvrant à leurs soldes. Ce qui a étonné nos Directeurs c’est le chiffre derrière l’aimable notion de proportion. Dans certains domaines, par exemple la recherche de médicaments anticancers ou la médecine expérimentale, on s’approche de 90% de non-reproductibilité
 
plus de 50 pour cent du taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X.
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre, Le rayonnement des procédures médicales dans la pathogenèse du cancer et la cardiopathie ischémique , que plus de 50 pour cent des le taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X. Radiation médicale est une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est un rayonnement-induction de mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.

le glivec et le sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib)
« Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »
 
Chaque année au Royaume-Uni, 200.000 cas de cancers sont diagnostiqués et 152.500 personnes en meurent.

Vinflunine : un cytotoxique à éviter, pourtant payé au prix fort !
Javlor° a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie et un prix déconnecté de la qualité des soins.
 
témoignage chimiothérapie chez l'enfant
L’Agence Fédérale de la Santé nous refusa l’accès à ce traitement qui pouvait peut-être sauver Alexandre

les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité
William Campbell Douglass II, MD - "Pour comprendre l'hypocrisie totale de la chimiothérapie, considérer les points suivants: Le Centre cancer de McGill au Canada, l'un des centres les plus importants et les plus prestigieux de traitement du cancer dans le monde, a fait une étude d'oncologues afin de déterminer comment ils répondrait à un diagnostic de cancer. Sur le questionnaire confidentiel, 58 des 64 médecins ont dit que tous les programmes de chimiothérapie étaient inacceptables pour eux et leurs membres de la famille. La raison impérieuse de cette décision était que les médicaments sont inefficaces et ont un degré inacceptable de toxicité. Ce sont les mêmes médecins qui vous diront que leurs traitements de chimiothérapie va diminuer votre tumeur et prolonger votre vie! Il ya trente ans, j'ai travaillé avec un radiologue qui m'a dit ceci: «. Si je reçois le cancer, je vais au Mexique" Donc, si vous obtenez le cancer, ne pas appeler votre médecin, appelez votre agent de voyages. Il existe des traitements alternatifs disponibles, mais vous devrez exécuter toute la gamme des chimiothérapeutes outragés, radiologues, chirurgiens et d'en trouver un. Ils se serviront de cajoleries, les insultes, la
Son « crime » est d’avoir voulu inventer un produit anti-cancéreux, diffusé dans près de 80 pays, le 714-X. Il existe de nombreux témoignages de guérisons de cancers, y compris au stade terminal, pour le 714-X. Il est par ailleurs prouvé depuis 1978 que ce produit est dépourvu de toute toxicité ou effet secondaire. Mais en tant que patient français ou belge, vous n’y avez pas droit.
Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements

distilbène : Les femmes exposées dans le ventre de leur mère sont soumises à un net accroissement du risque de certains cancers
Ces femmes courent également un risque 40 fois plus grand de développer une forme peu courante de cancer du vagin appelé adénocarcinome à cellules claires, précisent les chercheurs. Ce cancer reste néanmoins rare avec un cas sur mille chez ces femmes exposées au DES. Les auteurs de l'étude soulignent toutefois que le risque de développer cette maladie subsiste jusqu'à au moins 40 ans.
De plus ces femmes exposées au stade fœtal au Distilbène ont deux fois plus de chances de développer des cellules pré-cancéreuses dans le col de l'utérus ou du vagin et un risque accru de 80 % d'avoir un cancer du sein après 40 ans. L'analyse des données indique qu'à 55 ans une de ces femmes exposées à l'hormone sur 25 développera des changements cellulaires anormaux dans le cervix ou le vagin et une sur 50 souffrira d'un cancer du sein.

distilbène : Aujourd'hui, le Distilbène est prescrit dans le seul traitement du cancer de la prostate
oestrogène de synthèse

la chimiothérapie a amélioré la survie de moins de 3% chez les adultes atteints d'un cancer.
Voulez-vous dire que les oncologues médicaux en Australie sont simplement trier des escrocs de marketing ou quoi ?

Ces antitumoraux sont les suivants : mifamurtide (Mepact), nintédanib (Vargatef), olaparib (Lynparza), panobinostat (Farydak), trabectédine (Yondelis), le vandétanib (Caprelsa), la vinflumine (Javlor)
 
Enantone, Décapeptyl pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse)
Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.
Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie : Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).
 
Javlor (vinflunine) : a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie
Vinflunine (anticancéreux) : un cytotoxique à éviter
votre enfant sera la prochaine victime de ce vaccin mortel
Stop gardasil

La vaccination contre le développement des cancers du col utérin est, aujourd’hui, une imposture, car son efficacité est hypothétique et les risques indirects plus élevés que les industriels veulent bien le reconnaître.
Il importe en effet de ne pas oublier que les vaccins proposés (Gardasil, Cervarix) n’ont toujours pas démontré plusieurs années après leur mise sur le marché qu’ils étaient capables de réduire l’incidence dans la population vaccinée des dysplasies sévères ou graves qui peuvent évoluer vers un cancer.


Médicaments de la prostate: Tous les risques et aucun avantage
les médicaments qu'il prétend très aidera votre prostate - pourrait en fait augmenter votre risque de contracter la forme la plus mortelle et la plus agressive de cancer de la prostate!
 
Enantone (traitement du cancer de la prostate et endométriose)
la dernière méta-étude de Harvard 2006 sur plus de 70.000 cas; étude qui compare par ailleurs castration chirurgicale et castration chimique pour aboutir à la conclusion que les effets ne sont pas du tout les mêmes, et qu’il y a un très fort risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité qui n’est pas constaté dans le groupe ayant subi une orchidectomie.
 
En d'autres termes, la chimiothérapie, chirurgie et la radiothérapie faire tuer les cellules cancéreuses, mais ils doivent être utilisés dans de très faibles "doses", car ils ne ciblent pas les cellules cancéreuses. Les doses sont si faibles, et les dommages causés si haut, que les traitements contre le cancer orthodoxes ne peuvent pas guérir le cancer (qui s'est propagé) sans tuer le premier patient!

La catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer,
La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l'utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n'est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 - $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l'ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). "Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien"

ABRAXANE - Une nouvelle version d'un médicament contre le cancer ancienne, le Taxol, se vend à 4200 $ par dose. L'ancienne version, qui a des effets similaires, les coûts 25 fois moins.

L'utilisation du tamoxifène augmenterait le risque de cancer du sein
L'utilisation prolongée du tamoxifène augmenterait les risques de souffrir d'un type rare de cancer du sein, selon une nouvelle étude.

Evista (Raloxifene) - Ce médicament a été Eli Lilly trouvé pour prévenir le cancer du sein par un tiers dans une étude de plus de 10.000 femmes ménopausées. Échanger votre prévention du cancer du sein à un risque accru de 50 pour cent des accidents vasculaires cérébraux mortels et de caillots sanguins. Ironically, Ironie du sort, Evista a été une fois vendue comme un médicament contre l'ostéoporose, étant illégalement promu pour le traitement des maladies cardio-vasculaires en 2002.
GLEEVEC, également vendu sous le nom de Glivec. Ce médicament contre le cancer, utilisé pour traiter la leucémie, malheureusement détruit également les cellules du muscle cardiaque, ce qui peut causer la mort d'insuffisance cardiaque congestive.

La chimiothérapie tue plus que le cancer : Vous voulez la preuve ? Saviez-vous que les oncologues de 9 sur 10 refuseraient chimiothérapie s'ils avaient le cancer ? C'est à 91 % — un pourcentage énorme qui brille clairement une lumière sur la vérité : chimiothérapie tue. Oncologues classiques sont permettant pas seulement cela se produise, mais ils sont aussi intimidation de nombreux patients en chimiothérapie et la chirurgie juste après leur diagnostic. Pourquoi ce grand pourcentage des oncologues – ceux qui raconte autant des patients à obtenir une chimiothérapie – refuseraient de le faire eux-mêmes ? Parce qu'ils savent, qu'elle n'est pas seulement inefficace, mais extrêmement toxique. Peu importe, 75 % des patients atteints de cancer sont dirigés de recevoir une chimiothérapie. Pas encore assez choqué ? Un examen rigoureux de la chimiothérapie a révélé qu'il échoue pour 98% des personnes. Et lorsque la chimiothérapie a été testée contre l'absence de traitement, il n'y a pas de traitement qui a prouvé une meilleure option. De plus, c'est seulement deux à quatre pour cent des cancers répondent bien à la chimiothérapie.

Description de quelques accidents majeurs de radiothérapie survenus dans le monde
...Une erreur de paramétrage du logiciel utilisé pour réaliser les traitements de radiothérapie a entraîné un surdosage des patients, qui concerne a priori l’ensemble des cancers traités entre 1989 et 2000. Près de 5000 patients seraient concernés ; environ 300 auraient reçu une dose supérieure de 7% à celle qui aurait dû leur être délivrée. ...

L’ère de la chimiothérapie a commencé dans les années 1940 avec les premières utilisations des gaz moutarde azotés et des antifolates.
Les balbutiements de la chimiothérapie moderne remontent à la découverte de l’efficacité des tristement célèbres gaz moutarde sur les cancers. En 1942, les pharmacologistes Louis Goodman Alfred Gilman, examinant le potentiel thérapeutique de certaines toxines développées par l’industrie militaire, observèrent lors d’autopsies de soldats exposés au gaz moutarde soufré (sulfure de 2,2'-dichlorodiéthyle), une importante hypoplasie lymphoïde associée à une myélosuppression (régression du système lymphatiqueet du nombre de globules sanguins, causant notamment une dépression immunitaire). Ils supposèrent que l’action mesurée d’un produit similaire à cet agent soufré pourrait causer une régression de tumeurs lymphatiques.

En réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.
Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémoniqueEn réalité : les essais thérapeutiques ne sont pas fiables.Les conclusions des essais honnêtes ne sont pas plus sûres que celles des études traditionnelles.Beaucoup des grands essais sont faussés par les intérêts financiers des firmes qui s'en servent pour forger "l'état actuel des connaissances" par les congrès, les revues, les journalistes qu'ils soutiennent.Les dérives suscitées par des intérêts financiers considérables aboutissent à une escroquerie pseudo scientifique qui se veut hégémonique

un ancien chercheur chez Amgen Inc a constaté que de nombreuses études de base sur le cancer--une forte proportion d'entre eux de laboratoires universitaires--sont peu fiables, avec des conséquences sinistres pour la production de nouveaux médicaments à l'avenir.47 sur les 53 ne pourrait pas être répliquées. Il a décrit ses conclusions dans un morceau de commentaire publié mercredi dans la revue Nature.

Médicaments spécifiques iatrogènes : chimiothérapie du cancer
En 1989, Abel Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée « Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé ». Elle a été plus tard éditée sous une forme plus courte dans un journal médical.Abel a présenté une analyse complète des épreuves cliniques et des publications représentant plus de 3.000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Le cancer épithélial est le type de cancer dont nous sommes le plus informé, résultant de l'épithélium trouvé dans la doublure des organes de corps tels que le sein, la prostate, le poumon, l'estomac, et les intestins. De ces emplacements, le cancer habituellement infiltre le tissu adjacent et métastase aux os, au foie, au poumon, ou au cerveau.Avec son étude approfondie, Abel conclu qu'il n'y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé ; dans le cancer de poumon et le cancer ovarien peut-être, l'avantage thérapeutique est seulement léger. Selon Abel, « (…) beaucoup d'oncologistes prennent pour évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique. »Une décennie après l'examen approfondi de Abel sur la chimiothérapie, il semble qu'il n'y ait aucune diminution de son utilisation pour le carcinome avancé.Malheureusement, aucune étude complémentaire telle que celle du Dr. Abel n'existe pour indiquer s'il y a eu une amélioration des statistiques de survie au cancer depuis 1989. En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n'est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Nous continuons à nous interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, pourtant scientifiquement validés, ne sont pas employés.

Les compagnies pharmaceutiques continuent à propager ces médecines pourries!
Le fait est que, selon les statistiques officielles elles-mêmes, les patients traités par chimiothérapie, opiacés ou radiothérapie décèdent, dans 98% des cas, dans les sept années suivant le traitement... Et 95% d’entre eux dans les cinq années suivant le traitement. Qu’avec de telles données on parle de succès en oncologie, cela laisse songeur

taxol ( paclitaxel )
effets secondaires taxol

Taxol
la chimiothérapie paciltaxel, traitement vendu par Bristol-Myers Squibb sous le nom de taxol est inefficace dans la traitement HER-2 négatif du cancer du sein, la forme la plus courant de la méladie, selon une étude publiée jeurdi dans le New England Journal of Médecine

interferon
histoires de survivants

interféron: le tueur silencieux
dommages au cerveaux et vie détruite

interféron
Les évenements indésirables graves du traitement interferon

Avastin, Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, tamiflu....
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.

Non au THS après un cancer du sein et non au THS à la ménopause
par le professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue à Montpellier

Afinitor (cancer du rein)
Au vu des résultats disponibles de la seule étude de phase III, à l’issue d’une analyse intermédiaire des données, seul un impact théorique modéré peut être attendu de l’évérolimus en termes de réduction de la morbidité. De plus, aucune amélioration de la survie globale n’a pu être

La vérité sur le tamoxifène
provoque le cancer et l’EPA est au courant

tamoxifène favoriserait le cancer du sein
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus

tamoxifène : Ce médicament contre le cancer qui cause le cancer
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.
 
avastin
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).

AVASTIN - Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.

Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du sein
Les femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie

Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins)
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…

Avastin n’est plus autorisé dans le cancer du sein (Etats-Unis) Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair...)

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves

 
avastin
(anticorps monoclonaux)
L'anticancéreux Avastin (bevacizumab), médicament phare du laboratoire suisse Roche, accroît le risque de maortalité quand il est combiné à certaines thérapies, selon une analyse de plusieurs essais cliniques publiée mardi dans The Journal of the American Medical Association (JAMA).

AVASTIN - Avastin, lorsqu'il est utilisé pour traiter le cancer colorectal, vendu pour 50.000 dollars par an. Cependant, une fois qu'il a été approuvé pour traiter le cancer du sein et du poumon ainsi, Genentech a annoncé un nouveau prix: 100.000 dollars par an, même si elle peut prolonger votre vie de pas plus de quelques mois.
ERBITUX - Un autre médicament contre le cancer colorectal, avec une étiquette de prix de près de $ 10.000 par mois, même si il n'y a pas une seule étude montrant qu'il aide les patients atteints de cancer colorectal à vivre plus longtemps.

Avastin augmente de 33% le risque relatif de thromboembolisme veineux (caillots sanguins)
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer…

Avastin, Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, tamiflu....
Au total, 19 médicaments du laboratoire Roche seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.

Etats-Unis : l'Avastin interdit dans le traitement du cancer du seinLes femmes qui prennent de l'Avastin pour traiter un cancer du sein métastasé s'exposent à des effets secondaires mettant potentiellement en danger leur vie

anticorps monoclonaux : avastin, hercepin, humira, remica, tysabri, MabThéra...
Nouveaux décès sous MabThéra/Rituxan. Rappel des leucoencéphalopathies et autres effets indésirables graves

tamoxifène favoriserait le cancer du sein
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus

tamoxifène : Ce médicament contre le cancer qui cause le cancer
risque accru de cancer de l'utérus incidence et de mortalité.

cancer du sein
traitement par les plantes (l'atémisinine)


Cancer du sein
pouvoir choisir son traitement

Herceptin est une entrprisse très profitable pour Genentech
Dans la seule année 2007, le médicament a fait 327 millions de dollars de chiffre d'affaires pour l'entreprise de biotechnologie. En fait, un cours complet de traitement peut atteindre jusqu'à 70.000 dollars

Une étude récemment publiée, et relayée dans la presse anglo-saxonne, montre des résultats encourageants sur le potentiel de l’immunothérapie dans le traitement de certains cancers. Mais ce sont les laboratoires, plutôt que les malades, qui s’en frottent les mains.

En mars 2006, six jeunes hommes ont frôlé la mort en participant à un essai clinique pour tester un nouveau médicament, l'anticorps monoclonal TGN1412.
Moins d'une heure après l’injection du médicament, les volontaires se sont plaints de maux de tête, d'une transpiration excessive et de sensations de brûlure. Dans les heures qui ont suivi, les effets indésirables se sont aggravés avec vomissements et pertes de connaissance. La tête d'un des jeunes hommes a tellement enflé qu'il avait l'impression qu'elle allait exploser (sa tête avait la largeur de son torse). Le cou d'un autre volontaire a triplé de volume.
Ils ont tous été placés en soins intensifs et deux d'entre eux ont été plongés dans un coma artificiel. Par la suite, un des volontaires a dû se faire amputer de trois doigts et tous ses orteils à cause d'une gangrène.
Les six hommes ont tous de graves défaillances d'organes (coeur, reins) et vont probablement développer des cancers d'après le Professeur Richard Powell, de l'Université de Nottingham. Il dit que ce médicament qui était destiné à soigner les désordres auto immuns comme la sclérose en plaques et la leucémie, encourage au contraire le cancer et les maladies auto immunes chez les six hommes.7
Les tests pré-cliniques avaient déduit que le médicament était sûr pour les humains suite aux tests sur des rats, des lapins et des macaques cynomolgus. Ces derniers avaient reçu une dose 500 fois plus importante que celle administrée aux volontaires.

Médicaments cytotoxiques
Les médicaments cytotoxiques inhibent ou empêchent le bon fonctionnement des cellules. On les utilise surtout pour traiter le cancer, souvent dans le cadre d’une chimiothérapie. Dernièrement, leur utilisation s’est étendue au traitement de certaines maladies de la peau comme le psoriasis, de l’arthrite rhumatoïde, de l’arthrite rhumatoïde juvénile, de même que des problèmes musculaires résistant aux stéroïdes. Les médicaments cytotoxiques les plus connus sont les antinéoplasiques. Le terme antinéoplasique est d’ailleurs parfois utilisé au lieu de médicament cytotoxique.

Profils d’effets indésirables de médicaments anticancéreux
À très long terme, les patients qui ont reçu une chimiothérapie anticancéreuse développent parfois un autre cancer : des cytotoxiques sont eux-mêmes cancérogènes. La leucémie, particulièrement la leucémie myéloblastique aiguë, parfois précédée d’une myélodysplasie, est le plus fréquent des cancers secondaires..

folontyn d'Allos :extrait (non disponible sur internet) du livre big pharma:
"la palme du rapport inéfficacité/prix revient incontestablement au folotyn d'Allos dans le traitement des lymphome T périphérique, qui coûte 30 000 dollars par mois pour zéro rallongement de l'espérance de vie.

erlotinib (extrait de remède mortels et crime organisé) :
Pour moi, le trophé de la futilité appartient à l'erlotinib poir le traitement du cancer du pancréas. Tant la FDA que l'EMA l'ont approuvé bien qu'il ne prolonge la vie que d'une dizaine de jours et qu'il soit toxique. Il couterait près de 500 000 dollars pour le gain d'une année de vie (soit pou chacun des 36 patients, 10 jours qu'il ne seront même pas plaisants)

Jevtana* et cancer de la prostate : Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix. Le Jevtana* va couter près de 100 millions d’euros à la collectivité en 2016 pour un bénéfice nul pour les malades.

Sutent* (sunitinib) dans le cancer du rein : Médicaments inutiles, toxiques et hors de prix. Il faut aussi tenir compte des complications du Sutent : épuisement (18% des malades traités), hypertension, (16%), syndrome pied main (33%), diarrhées (10%), hypothyroïdie sévère5 (4%), baisse des plaquettes sanguines (10%), et des globules blancs (7%), phlébites et embolies (1.3%)[12], accidents cardiaques et toxicité hépatique pouvant entraîner la mort. Des complications sévères nécessitant une prise en charge médicale ont émaillé les traitements de 57% des patients obligeant les médecins à réduire les doses initialement prescrites de 50 mg à 37.5 mg.

Cancer du sein : plusieurs décès après la prise de traitements contenant du docétaxel / taxotère : Le docétaxel, une molécule extrêmement répandue pour traiter les cancers du sein, est dans le viseur des autorités sanitaires. Après avoir reçu leur traitement, plusieurs femmes ont été victimes d'entérocolite, une inflammation simultanée des muqueuses de l'intestin grêle et du côlon. Parmi elles, cinq sont décédées

L’histoire du Yondelis* (trabectédine) pour les sarcomes des parties molles montre qu’en France, un médicament inutile et toxique pour les malades peut malgré tout être remboursé à un prix très élevé et que, qui plus est, des sociétés savantes et associations de malades se mobilisent, non pas pour en dénoncer le prix, mais pour en prolonger le remboursement.
EFFICACITE REELLE DU YONDELIS : aucune amélioration de survie globale
 
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